Je ne voulais pas être la seule fille de l’école à n’avoir jamais eu d’orgasme ! Toutes les autres filles ne parlaient que de gicler et d’avoir des orgasmes incroyables, et je voulais pouvoir traîner avec elles ! Mais je n’avais personne pour me baiser, et je ne savais même pas par où commencer. Jusqu’à ce que j’aie l’idée lumineuse de demander à quelqu’un que je voyais tous les jours : mon demi-frère. Bien sûr ! Il avait probablement une grosse bite ! Et ce n’était que mon demi-frère, après tout. Serait-ce vraiment si bizarre de le laisser me baiser ? Bon, c’était quand même assez tordu de laisser son demi-frère jouer avec sa chatte. Mais j’étais tellement excitée et je voulais tellement jouir. Ce que je ne savais pas, c’est qu’à partir du moment où on a commencé à déconner, je deviendrais accro à sa bite. Il me tripotait dans la cuisine, utilisait un vibromasseur télécommandé… Peu importe, je voulais qu’il me baise 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Je me souviens encore de la première fois où il a glissé ses doigts sous ma culotte. J’étais dans la cuisine, en train de préparer un sandwich, et il est arrivé par derrière, silencieux comme un chat. Ses mains ont trouvé leur chemin sous le tissu, et j’ai senti un frisson me parcourir tout le corps. Je savais que c’était mal, que je ne devais pas le laisser faire, mais mon corps ne m’obéissait plus. J’étais comme hypnotisée, incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit. Ses doigts ont commencé à me caresser doucement, et j’ai senti une chaleur se répandre dans mon ventre. Je fermais les yeux, savourant chaque instant, chaque sensation. Je savais que j’étais sur le point de faire quelque chose de mal, mais je ne pouvais pas m’en empêcher. J’avais tellement envie de lui, tellement envie de sentir sa peau contre la mienne.
Et puis, il y a eu le vibromasseur. Il l’avait trouvé dans le tiroir de ma mère, et il avait décidé de l’utiliser sur moi. J’étais allongée sur le lit, les yeux bandés, et il a commencé à me caresser avec l’appareil. Les vibrations étaient intenses, et j’ai senti mon corps se contracter de plaisir. Je gémissais, je me tordais sous ses mains, je ne pouvais plus contrôler mes réactions. J’avais l’impression d’être en train de fondre, de me dissoudre dans un océan de sensations. Je savais que j’étais sur le point d’atteindre l’orgasme, et j’avais tellement peur. Peur de ce que j’étais en train de faire, peur de ce que j’étais en train de ressentir. Mais en même temps, j’étais tellement excitée, tellement heureuse. Je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi intense, d’aussi puissant.
Finalement, l’orgasme est arrivé. Il m’a submergée, m’a emportée dans un tourbillon de plaisir. J’ai crié, j’ai pleuré, j’ai tout lâché. J’étais vidée, épuisée, mais aussi incroyablement satisfaite. Je savais que j’avais franchi une limite, que j’avais fait quelque chose de mal. Mais je ne pouvais pas regretter ce qui s’était passé. J’avais enfin découvert l’orgasme, et je savais que je ne pourrais plus jamais m’en passer. Mon demi-frère était devenu mon dealer de plaisir, et j’étais prête à tout pour avoir ma dose. Je savais que c’était mal, que c’était dangereux, mais je ne pouvais pas m’en empêcher. J’étais accro, complètement accro à lui et à ses caresses. Et je savais que cette addiction allait me mener à ma perte. Mais je m’en foutais, je voulais juste continuer à jouir, encore et encore. Je voulais sentir son corps contre le mien, je voulais entendre ses gémissements, je voulais me perdre dans ses bras. Je voulais tout, je voulais tout de lui. Et j’étais prête à tout pour l’obtenir. Même à baiser mon propre demi-frère. Après tout, c’était juste du sexe, non ? Et le sexe, c’était bon. Surtout quand ça te faisait jouir comme jamais auparavant. Alors, je fermais les yeux, je me laissais aller, et je me perdais dans le plaisir. Je savais que c’était mal, mais je m’en foutais. J’étais trop excitée pour penser à autre chose. J’étais une putain, une salope, une nymphomane. Et j’adorais ça. J’adorais être soumise, j’adorais être utilisée, j’adorais être baisée. J’étais une esclave du plaisir, et je ne voulais pas être libérée. Je voulais juste continuer à jouir, encore et encore. Jusqu’à ce que je meure.